Salon numérique

23e édition du festival côté court

du mercredi 11 au samedi 21 juin 2014

Une sélection du meilleur de la programmation de la 23e édition du festival Côté Court.

Des documentaires, des fictions, des films d’animations, des créations originales et novatrices à découvrir dans le salon de la Maison populaire.

En résonance à la 23e édition du festival Côté Court qui a lieu au Ciné 104 à Pantin, la Maison populaire s’associe à l’événement et propose une sélection des films issus des Panoramas.

Le Panorama, c’est l’occasion de voir des films de genres différents. Ce sont des films de fiction, d’animation, documentaire ou expérimental. Voilà donc 14 films qui offrent un vrai Panorama du dynamisme de la production française ! Profitez-en !

Une 23è édition dense, riche, troublante, de quoi sortir décalés parfois...

programmation :

 Panorama 1
Les fantasmes, les imaginaires et les cauchemars prennent forme dans ces films jusqu’à prendre un certain sens dans la réalité.

• Agit Pop de Nicolas Pariser, 30’
Le magazine culturel Agit Pop va cesser sa parution. Le dernier bouclage va se transformer en catastrophe de dimension biblique.

• Agafay de Olivier Nikolcic, 12’40’’
Au milieu du désert, un homme arrête de fumer.

Le Verrou de Laurent Laffargue, 17’
Dans un musée, une femme, et un homme, inconnus l’un à l’autre, contemplent Le Verrou, un tableau de Fragonard. Chacun y projette son fantasme et s’invente une fiction.

Helix Aspersa de Grégoire Graesslin, 20’
Un père et ses deux jeunes filles se rendent dans une décharge forestière à la recherche de vieux matériaux à récupérer. Malgré l’apparente quiétude de la forêt, ils vont être chacun à leur tour confrontés aux dangers qui imprègnent la décharge.

Fondement par les Ballets russes, 7’
Une poignée de scouts américains traque une silhouette morne qu’ils prennent pour Big Foot et établissent quelques stratégies d’assassinat.
Il y a longtemps, bien longtemps, ceux de la colonie voulurent bâtir la résignation.

Cinq points de vue autorisés sur les Courtillières de Julie
Vladimir & Léon Desprairies, 7’45’’
Des habitants de la Cité des Courtillières à Pantin traversent leur quartier en effectuant une danse énigmatique. La farandole avance dans les espaces concédés par les dealers « cinq points de vue autorisés » qui ici règnent en maître.

Et que ça saute ! de Jeanne Delafosse, 13’
Trois jeunes femmes révoltées par le scandale de la crise financière décident de passer à l’action. Pamphlet burlesque et politique, loufoque et irrévérencieux qui met le plaisir et la poésie au cour de la lutte.

 Panorama 2
Poétique, imagé, allégorique ou véritable film sociétal, ce corpus de courts témoignent du passage à l’âge adulte, les moments de doute et de choix.

Maison de poussière de Jean-Claude Rozec, 11’35’’
Lentement, les mâchoires d’acier dévorent la vieille tour HLM. Une ancienne occupante s’engouffre dans les décombres, à la poursuite d’enfants imprudents. Commence alors un drôle de voyage au cœur de cette « maison » qui abrite tant de souvenirs...

La Vie sans truc de Anne laure Daffis & Léo Marchand, 27’
Popolo, le plus grand magicien du monde ! Tu parles ! Il vient de paumer les jambes d’Amabilé, sa sublime assistante, dans le numéro de la femme coupée en deux ! Pour la consoler, il lui a promis de lui payer des vacances à la mer. C’est bien beau !

• La Nuit américaine d’Angélique de Joris Clerté & Pierre-Emmanuel Lyet, 7’25’’
En allant voir La nuit américaine de François Truffaut, Angélique découvre qu’on peut inventer sa vie.

• Papa oom mow mow de Sebastien De Fonseca, 34’
Par amour, par ennui, par opportunité... par miracle ou par mégarde... Frank subit un choc capillaire qui change sa triste vie dans sa pluvieuse ville...

• Les petites casseroles d’Anatole de Eric Montchaud, 5’47’’
Anatole traîne toujours derrière lui sa petite casserole.
Elle lui est tombée dessus un jour... On ne sait pas très bien pourquoi.
Depuis, elle se coince partout et l’empêche d’avancer.

• La Virée à Paname de Carine May & Hakim Zouhani, 22’50’’
Mourad, vingt ans, vivote entre cours de théâtre, sorties entre potes et petite copine. Ce jour-là, il décide de quitter son quartier pour se rendre à un atelier d’écriture, à Paris. Mais la démarche va s’avérer plus compliquée que prévu.

• Tant qu’il nous reste des fusils à pompe de Caroline Poggi & Jonathan Vinel, 30’
Il fait chaud. Les rues sont étrangement désertes. Les palmiers agonisent et les fusils à pompe pleurent. Joshua veut mourir mais ne veut pas laisser son frère Maël seul. C’est alors qu’il rencontre le gang des Icebergs.